La 5e circonscription en action(s) !

Mercredi 24 octobre avaient lieu trois rendez-vous politiques simultanément sur la 5e circonscription. Trois manifestations locales : la réunion nogentaise sur les motions du parti, le dîner de la section campinoise et la réunion mensuelle militante de Bry.

A l'initiative de l'association Convergences Champigny, les militants campinois se sont rassemblés à la permanence du député Gilles Carrez pour un buffet dinatoire de section bien sympathique. Dans la bonne humeur et la convivialité, la quinzaine de personnes présente s'était réunie pour faire suite à la réunion de la semaine précédente. L'objectif : échanger, discuter, débattre mais surtout fédérer. Le sujet du jour présent dans toutes les têtes et repris dans toutes les discussions était bien entendu le refus du conseil constitutionnel de valider la loi sur le logement social. On pouvait largement sentir la satisfaction de chacun, d'autant plus dans un contexte comme celui de Champigny où le maire d'extrême gauche souhaite construire pas loin de 55% de logements sociaux. Le succès de ce dîner est tel qu'une autre date est déjà envisagée le mois prochain !

Retrouvez les photos du dîner en cliquant ici.

A Bry, comme à Champigny, c'est l'engagement local qui a animé la soirée. Après un rappel des modalités du scrutin du 18 novembre prochain et la mise en place de covoiturage pour se rendre au bureau de vote, un débat d'actualité a donné la parole à chacun des militants. Du sentiment d'inquiétude provoqué par les décisions du gouvernement en place, à l'éternel débat Copé/Fillon, en passant par les rythmes scolaires ou le scandale val-de-marnais de l'opération Ordival, personne n'a été épargné ! Mais les deux points importants se sont principalement articulés autour de la "redynamisation" de la section locale et l'échange avec Gilles Carrez, qui nous a fait la très agréable surprise d'arriver en cours de réunion. A travers un bon nombre d'anecdotes, il a su démontrer que les orientations choisies actuellement par l'équipe Ayrault n'étaient, pour la plupart, pas les bonnes. A force d'idéologie et d'anti-Sarozysme exacerbés, le gouvernement va être obligé de se renier. Aujourd'hui il est encore dans le déni, mais demain ce sera la catastrophe... Il a insisté sur l'importance de répondre aux interrogations de tous les Français, qui légitimement s'inquiètent chaque jour davantage de se voir toujours un peu plus taxés.